La faculté de droit de l’université de Bagdad a discuté une thèse de doctorat dans la branche de droit pénal de l’étudiante (Alia Younis Ali), intitulée (l’abstraction des listes de criminalisation et de sanctions), le dimanche 12/11/2023, dans la salle de conférence du collège.

La thèse vise à expliquer ce que devrait être le droit pénal, l’étude se spécialise dans l’examen du sujet de l’abstraction, qui est l’un des thèmes fondamentaux du droit en général et du droit pénal en particulier. Elle vise à ouvrir de nouveaux horizons vers l’étude philosophique du droit pénal. Il s’agit de ramener ces sujets à leurs origines philosophiques générales et aux particules qui les composent.

La thèse comprenait trois chapitres, dont le premier traitait de l’enracinement de l’idée d’abstraction dans l’essence de la règle pénale, le deuxième chapitre le concept d’abstraction sous forme de criminalisation et de règles pénales, tandis que le troisième chapitre traitait avec les restrictions imposées à l’abstraction sous forme de criminalisation et de règles pénales.

La thèse a abouti à plusieurs recommandations, dont la plus importante suggère la nécessité de modifier le code pénal d’une manière cohérente avec l’évolution politique et sociale survenue et le changement démocratique qui nécessite l’abolition de nombreux textes qui contiennent l’idéologique et servir les intérêts du pouvoir. Elle appelle le législateur pénal irakien à suivre le rythme des changements provoqués par la nouvelle réalité sociale et le développement qui a accompagné les révolutions. Les questions scientifiques et technologiques, et stipule les restrictions liées à la commission crimes utilisant des méthodes modernes, qui ne sont pas abordés dans les textes spéciaux.

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