La faculté de droit de l’université de Bagdad a discuté d’un mémoire de master dans la branche de droit international de l’étudiante (Nour Abdul Amir Abdul), intitulé (Protéger les biens culturels contre les actes terroristes et les punir : L’Irak comme modèle). Le jeudi 12/10/2023, dans la salle des conférences du collège.
Le mémoire vise à mettre en lumière les mécanismes juridiques les plus importants pour la protection des biens culturels à la lumière des accords internationaux et régionaux, et à expliquer les efforts internationaux consacrés à la protection des antiquités. Et mettre en lumière les violations contre les biens culturels dans le monde en général et en Irak en particulier.
Le mémoire comprenait trois chapitres, le premier chapitre traitant du cadre conceptuel des biens culturels et du phénomène du terrorisme, et le deuxième chapitre traitant des violations commises par les gangs terroristes de l’Etat islamique contre les biens culturels irakiens et les bases de la criminalisation. Le troisième chapitre traitait de la responsabilité pénale individuelle pour les violations commises par les gangs terroristes de l’Etat islamique contre les biens culturels irakiens.
Le mémoire contenait plusieurs recommandations, dont la plus importante est que les pays devraient accorder la plus grande importance plus largement en adhérant et en ratifiant la Convention de La Haye en 1954. Concernant la protection des biens culturels en cas de conflit armé et ses protocoles additionnels, la nécessité de considérer les opérations terroristes contre les biens culturels comme un crime de guerre en imposant une obligation effective de respecter les règles du droit international humanitaire.